Focus on the Family Canada

LEÇONS DEPUIS LA SALLE D'ACCOUCHEMENT LA VIE EN LIGNE DE MIRE PAR PHIL CALLAWAY Au début de mon mariage avec Ramona, je ne voulais pas d'enfant. J'en avais rencontrés et les avais trouvés dégoûtants. Lors d'une fête d'Action de Grâces, j'ai vu mon neveu d'un an mettre des pommes de terre dans ses oreilles et des petits pois dans sa couche. Il sortait des choses affreuses de ses narines. Et puis il a voulu une bise. Cet après-midi-là, pendant que je faisais la sieste pour digérer la dinde, il est arrivé en se dandinant et a posé sa couche bien chargée sur mon front. Je me suis relevé en pensant : J'aurai des enfants quand les poules auront des dents. Mais un soir, ma merveilleuse femme est arrivée devant moi portant de la lingerie plutôt chère et a dit : « Faisons des enfants. Beaucoup d'enfants. » Cela m'a semblé une bonne idée à ce moment-là. Six mois plus tard, je me suis retrouvé dans un cours prénatal. J'ai appris comment respirer. J'ai regardé des i lms qui devraient être classés X. On m'a donné une balle de tennis. « Frottez son dos avec ça dans la salle d'accouchement », m'ont-ils dit. J'ai pensé : Je parie que Salomon n'a jamais assisté à un cours prénatal. Le 3 mai 986, j'arpentais un couloir d'hôpital avec ma femme. Ou du moins je crois que c'était ma femme. Mais cette personne avait changé. « Frotte-moi le dos ! » commanda-t-elle. J'ai sorti la balle de tennis. « Ne me touche pas ! » ordonna-t-elle. Cela a continué pendant environ 4 heures, jusqu'à ce qu'elle me présente le premier miracle que j'aie jamais vu : mon i ls premier-né. Il était ridé et violet. « Stephen » a dit ma femme, après le plus large sourire que je lui aie jamais vu. Et quelque chose s'est passé. C'était comme si une très grosse voix disait : « Callaway, les 25 premières années de ta vie, tu as été un hypocrite. Tu as été proche de l'église mais loin de Dieu. Tu ne pourras pas le cacher à ce petit gars. » Ce soir-là, je me suis agenouillé au pied d'un lit vide dans une maison vide. « Dieu ai-je prié, rends-moi honnête. Je veux que mon précieux petit garçon ait faim et soif de justice. Je veux qu'il aime Jésus de toutes ses forces. » Certains me considèrent maintenant comme expert en éducation. Je ne le suis pas. Je suis seulement quelqu'un qui a réalisé ceci : si nous voulons que nos enfants aiment Dieu, nous avons intérêt à l'aimer d'abord. Si nous voulons qu'ils obéissent à sa voix, nous avons intérêt à écouter et obéir. Et si nous voulons que nos vies changent pour toujours, ayons des enfants. Beaucoup d'enfants. Rendez une visite à Phil Callaway en ligne sur philcallaway.ab.ca 30

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